Qu’il fait bon le soir flâner sur les quais de Louxor…en regardant le soleil couchant enflammer la West-bank…Son reflet éphémère dans les eaux du Nil…
Une felouk se découpe dans cette lumière particulière…des gamins rient et pataugent dans les eaux gris argent du soir…Seul, le ronronnement incessant des moteurs des bateaux de croisière amarrés ici et là troublent cette ambiance tranquille et en même temps joyeuse de Louxor…
Là !…de l’autre côté de l’avenue où vont et viennent tout au long de la journée, calèches et taxis…petites motos chevauchées par trois ou quatre jeunes égyptiens aux sourires malicieux…là !…se dressent, majestueuses, les colonnes du Temple, baignant dans une lumière jaunâtre…
Puis tout à coup, le minaret de la Mosquée appelle à la prière…la voix chantante du muzine couvre les bruits de la ville…Il est presque 21h 30…
Les terrasses des coffee shop et restaurants se garnissent lentement…les rues s’animent…les commerçants vous invitent à rentrer dans leur boutique…en insistant avec le sourire et de vous dire : « c’est gratuit !….jusqu’à la caisse… ».
Ici, pas besoin de chercher un taxi…au contraire, c’est eux qui vous cherchent !…Vous proposant leur service dans des voitures raffistollées, garnies de fausses fourrures et parfois de vieux compteurs factices. Elles sentant l’essence et l’huile chaude…
Puis à quelques pas, des hommes en djellaba vous interpellent « calèche !…calèche !…pas cher pour toi… ». Ils veulent à toute force vous emmener au supermarché arabe qui n’a lieu qu’une fois par semaine…mais dès le lendemain on entend la même ritournelle…
Une halte chez Sinbad pour déguster un limon juce ou une bière bien fraîche…l’odeur des sheishas envahit la terrasse…quelques touristes rougeoyants de coup de soleil se prennent en photo, fumant le narguilé…
Un concert de klaxonnes…le carrefour près du souk est complètement embouteillé…des fourgonnettes, des calèches, des motos, des charrettes tirées par des ânes et conduites par des jeunes adolescents se pressent…c’est à celui qui forcera le passage en premier…tout cela, sous l’œil impassible d’un policier habitué à ce genre de situation qu’il sait ne pouvoir maîtriser…
En quelques lignes…c’est l’ambiance…c’est Louxor…c’est l’Egypte qui cohabite avec son passé…tout paraît décalé et en même temps indissociable…c’est peut-être pour cela qu’on l’aime…
Une felouk se découpe dans cette lumière particulière…des gamins rient et pataugent dans les eaux gris argent du soir…Seul, le ronronnement incessant des moteurs des bateaux de croisière amarrés ici et là troublent cette ambiance tranquille et en même temps joyeuse de Louxor…
Là !…de l’autre côté de l’avenue où vont et viennent tout au long de la journée, calèches et taxis…petites motos chevauchées par trois ou quatre jeunes égyptiens aux sourires malicieux…là !…se dressent, majestueuses, les colonnes du Temple, baignant dans une lumière jaunâtre…
Puis tout à coup, le minaret de la Mosquée appelle à la prière…la voix chantante du muzine couvre les bruits de la ville…Il est presque 21h 30…
Les terrasses des coffee shop et restaurants se garnissent lentement…les rues s’animent…les commerçants vous invitent à rentrer dans leur boutique…en insistant avec le sourire et de vous dire : « c’est gratuit !….jusqu’à la caisse… ».
Ici, pas besoin de chercher un taxi…au contraire, c’est eux qui vous cherchent !…Vous proposant leur service dans des voitures raffistollées, garnies de fausses fourrures et parfois de vieux compteurs factices. Elles sentant l’essence et l’huile chaude…
Puis à quelques pas, des hommes en djellaba vous interpellent « calèche !…calèche !…pas cher pour toi… ». Ils veulent à toute force vous emmener au supermarché arabe qui n’a lieu qu’une fois par semaine…mais dès le lendemain on entend la même ritournelle…
Une halte chez Sinbad pour déguster un limon juce ou une bière bien fraîche…l’odeur des sheishas envahit la terrasse…quelques touristes rougeoyants de coup de soleil se prennent en photo, fumant le narguilé…
Un concert de klaxonnes…le carrefour près du souk est complètement embouteillé…des fourgonnettes, des calèches, des motos, des charrettes tirées par des ânes et conduites par des jeunes adolescents se pressent…c’est à celui qui forcera le passage en premier…tout cela, sous l’œil impassible d’un policier habitué à ce genre de situation qu’il sait ne pouvoir maîtriser…
En quelques lignes…c’est l’ambiance…c’est Louxor…c’est l’Egypte qui cohabite avec son passé…tout paraît décalé et en même temps indissociable…c’est peut-être pour cela qu’on l’aime…
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